Tu sais que tu fréquentes les bike park quand …
Cette route tu avais l’habitude de la prendre emmitouflé dans ta doudoune, au cœur de l’hiver, pour rejoindre les pistes de ski. Mais ce coup-ci, il est 9h, la vitre de ton pick-up est entrouverte et le soleil brille déjà dans la vallée. Pas de doute, on est en été et tu t’apprêtes à rejoindre les pistes de VTT et le confort moelleux du télésiège. Ici il n’est pas question de dénivelé positif (du quoi ?), tu sais que t’es un adepte du bike park quand :
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La visière de ton casque ressemble à un puzzle.
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Le goût de la terre t’est familier.
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Tu arrives à te dire que 200 mm de débattement ne suffisent pas.
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Pour toi le bois ne sert pas qu’au chauffage mais à construire des modules !
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Tu commences ta journée de ride à 7 et quand au fil des casses mécaniques et blessures tu finis à 2.
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Il n’y a jamais assez de pente.
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Tu passes plus de temps à causer de ta dernière prépa de suspension plutôt qu’à rouler.
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Tu changes tes pneus tous les deux jours.
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Tu cherches l’une de tes dents dans le sapin au bord du dernier virage que t’as loupé.
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Quand tu lances des défis drop avec tes potes… et que tu regrettes quand c’est trop tard pour freiner.
Si vous vous reconnaissez et que vous avez d’autres anecdotes, n’hésitez pas à les partager en commentaires !
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