Test Stimium MC3 : l’avis du staff
Stimium est LE produit recommandé pour bénéficier d’une bonne récupération après l’effort, quelque soit votre pratique sportive. Anticiper la fatigue, mieux récupérer et donc être plus performant, voici la promesse du Stimium (que l’on vous présente dans cet article). Nous sommes quelques membres du staff Alltricks à l’avoir testé sur nos dernières épreuves sportives, qu’en a-t-on pensé ? Voici notre retour d’expérience :
Stimium MC3 : le test grandeur nature
- Benoit (course à pied)
J’ai utilisé Stimium MC3 en phase de reprise et en phase de préparation compétition, en prenant chaque fois 4 sticks/jour pendant 8j. Le stick, sous forme de gel citronné, n’est pas désagréable bien que donnant l’impression de prendre un médicament, en tout cas la texture est bien plus savoureuse que pas mal d’autres gels du marché. Mais justement ce n’est pas n’importe quel gel du marché, il n’est pas destiné à générer des coups de boost durant l’effort, mais veille à ce que le corps récupère bien après les séances.
Il est très compliqué de donner un avis certain sur ce produit parce que l’effet qu’il génère n’a pas pour vocation à se voir rapidement, et que l’effet pourrait être placebo. Voilà pourquoi je pense qu’il faut faire de nombreuses « cures » avant de donner un avis tranché sur le produit. Dans tous les cas, après mes deux premières cures, j’ai ressenti davantage un effet sur mon bien être, l’envie d’aller courir, d’enchaîner les séances. J’ai eu un coup de fatigue mais qui est parti plus rapidement que d’habitude. Les courbatures ne passent pas plus rapidement de mon expérience, mais le corps semble plus vite prêt à repartir. Après 2-3 mois difficiles en raison de blessures, je suis plutôt satisfait d’avoir testé ce produit, je me sens désormais en pleine forme pour la saison qui arrive.
- Charlotte (course à pied)
J’ai utilisé Stimium sur un semi-marathon, un mois avant le marathon de Paris en cure de 4 sticks par jour avant et après le semi et en cure pour le marathon de Paris avec la même posologie. Sceptique au début, j’avoue que j’ai été agréablement surprise par ma capacité à récupérer du semi-marathon, je n’ai eu quasiment aucune courbature le lendemain et je n’avais pas cette notion de fatigue comme j’ai pu avoir sur d’autres courses. J’ai réitéré la cure pour le marathon mais comme je n’ai aucun point de comparaison puisque c’était mon premier marathon, je trouve cela plus difficile de juger. Un marathon est une épreuve difficile, d’autant plus pour moi qui ai mis 4h53 et je savais que les courbatures allaient être très présentes. Est-ce que Stimium m’a aidé à mieux « digérer » la fatigue et les courbatures ? Difficiles à dire, ce qui est sûr c’est que je vais continuer les cures pour mes prochaines courses car l’effet sur la récup après le semi, course sur laquelle j’ai des points de comparaison, a été probant.
- Vincent (cyclisme)
La prise de Stimium pour moi s’est déroulée sur 5 semaines précédant la reprise de la compétition et la préparation du Paris Roubaix Challenge (4 sticks/jour). J’avoue être plus habitué à utiliser des cocktails vitaminés en phase hivernale et protéiné en récup, ils sont souvent très efficaces si mon alimentation en parallèle est adaptée. Du coup je n’ai pas ressenti d’effets particulièrement visibles hormis moins de coup de pompe en journée, et moins de lassitude à partir à l’entrainement surtout après le travail.
Sur le vélo je n’ai pas eu de sensations d’amélioration particulière, en début de saison il est difficile de se jauger, les entraînements et les premières courses permettent une progression rapide donc je ne sais pas si le Stimium y est vraiment pour quelque chose. Peut-être qu’une deuxième cure en cours de saison pourra marquer un peu plus la différence et me permettre de me faire une idée plus précise.
Dernier point positif, le produit est très facile à prendre et pas désagréable en termes de goût et de texture, on peut le boire pur ou dilué et ce n’est pas un calvaire, d’autre part j’ai ressenti un transit un peu bousculé sur les premières prises la première semaine, peut-être dû à l’acidité du complément en lui-même.